La prise de décision est un procédé omniprésent dans nos vies comme le fait de choisir sa tenue avant de sortir ou un plat au restaurant. Au travail, ces prises de décision peuvent s’avérer plus délicates. Quels sont les pièges à éviter ? Comment bien décider ? Positive You vous livre ses conseils.
La prise de décision est un processus cognitif complexe qui implique de choisir parmi plusieurs alternatives en se fondant sur la perception, l’analyse, les valeurs individuelles et les émotions. Elle implique l’évaluation des informations disponibles, une réflexion sur les conséquences potentielles ainsi que la sélection de la meilleure option en fonction des objectifs et des contraintes spécifiques à la situation.
En entreprise, savoir prendre des décisions est un atout stratégique majeur. Cependant, c’est un exercice qui comporte des écueils. Les pièges courants à éviter sont :
Face à une problématique, est-il plus judicieux d’œuvrer seul ou à plusieurs ? Tout dépend de la complexité de la décision, de l’expertise requise, du niveau de consensus nécessaire, mais également de la culture de l’entreprise. Les choix plus difficiles, stratégiques ou requérants une variété de points de vue, doivent être enrichis par la contribution d’un groupe pour une évaluation approfondie. Enfin, dans certains cas, une approche hybride combinant la prise de décision individuelle, suivie de la validation par un groupe, peut être pertinente.
En fonction de l’expérience, des compétences en résolution de problèmes, de la confiance en soi, mais aussi de l’aptitude à gérer ses émotions, la capacité à prendre des décisions varie d’un individu à l’autre. Cependant, il n’y a pas de “talent inné” pour cette compétence. Elle peut être travaillée et développée au fil du temps.
La prise de décision est une compétence largement plébiscitée par les organisations. Elle permet une gestion plus efficace des opérations, la résolution de problèmes, la mise en œuvre de stratégies et une meilleure adaptation aux changements.
Avant, seules les personnes occupant des postes de direction au sommet de la hiérarchie étaient responsables des décisions dans les organisations traditionnelles de type vertical. Désormais, cette structure a évolué. L’ensemble des collaborateurs doit être en mesure de comprendre et d’utiliser les mécanismes de prise de décision. Notamment, dans les firmes qui adoptent une structure plus horizontale, avec un environnement de travail caractérisé par des projets, une collaboration en réseau et une gestion transversale.
Ateliers, conférences et psycho-coaching peuvent aider les collaborateurs à améliorer leurs compétences de prise de décision grâce à des exercices pratiques, des retours personnalisés, un apprentissage de la gestion des émotions et le renforcement de la confiance en soi. D’autres méthodes peuvent être utilisées pour améliorer les compétences en la matière des collaborateurs comme le mentorat, le team building ou la formation en ligne.
Toutes ces approches permettront aux employés de prendre des résolutions plus éclairées dans leur travail.
Face à une décision de première importance, il est impératif de suivre un processus efficace afin de garantir des résultats concluants. Cela implique d’adopter un cheminement comprenant huit étapes fondamentales :
Lors de cette première étape, il s’agit de prendre conscience qu’une décision doit être prise. Cette nécessité d’agir peut découler de l’émergence d’un problème, de la découverte d’une opportunité ou d’un choix à effectuer.
Ensuite, les données pertinentes et des informations liées à la décision à prendre doivent être rassemblées.
Une fois les informations collectées, voici venue le moment de définir les différentes options disponibles pour résoudre le problème.
Chaque option doit être examinée en fonction de sa pertinence, son efficacité, sa faisabilité ainsi que ses conséquences potentielles. Des ressources telles que la méthode SWOT ou la cartographie mentale peuvent être utilisées pour évaluer les options.
Après avoir évalué les alternatives, la meilleure option est donc choisie.
Le choix est maintenant arrêté. Il est ainsi temps de la mettre en action. Cela peut impliquer la création d’un plan d’action, l’affectation de ressources et la communication de la décision aux parties prenantes concernées.
Après la mise en œuvre, les résultats sont-ils à la hauteur ? Il est essentiel d’effectuer un suivi afin de vérifier la conformité aux attentes et d’apporter des ajustements si besoin.
Pour conclure, cette phase vise à tirer des leçons de la décision, qu’elle ait été un succès ou non. En adoptant un regard critique, cela favorise l’apprentissage au sein de l’organisation et stimule l’amélioration constante du processus décisionnel.
Certaines prises de décision sont plus décisives que d’autres en fonction de l’impact attendu et du contexte. D’ailleurs, pour compléter les étapes de la prise de décision, des techniques permettent de trancher plus facilement :
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